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Ainsi, durant la période estivale, la truffe d’été est plus abordable que la truffe noire (tuber melanosporum) ou la truffe blanche (tuber magnatum), qui sont respectivement cultivées en hiver et en automne. En milieu ouvert, la Truffe noire de Bagnoli Tuber melanosporum trouve alors des conditions idéales à sa propagation. Au terme d’une collaboration de plusieurs années, l’Institut national pour la recherche, l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) et les pépinières Robin, ont annoncé, mardi 16 février, avoir enfin résolu le mystère la « truffe manquante ».Car jusqu’à présent, la technique permettait de produire, de manière contrôlée, deux variétés principales : la truffe noire et la truffe de Bourgogne. Le mystère de la truffe manquante est enfin résolu. On doit avoir pitié de leur triste sort, et leur épargner les mauvais traitements, car le fait seul de devenir la propriété d’autrui brise le cœur : la servitude est inséparable de l’idée de violence et de domination, surtout lorsqu’il s’agit d’un esclave emmené loin de son pays. Le Seigneur te rappelle par là qu’il t’a fait la grâce de t’admettre au nombre des musulmans, alors qu’il l’a laissé, lui et ses ancêtres, dans les ténèbres de l’impiété, au point de permettre qu’il soit conduit en captivité…

Mais la malédiction de Noé contre son fils se trouve rapportée dans le Pentateuque ; et il n’y est fait aucune mention de la couleur noire ». Juridiquement, les individus amenés de l’Abyssinie sont-ils dans la même situation que ceux qui viennent du Soudan, ou y a-t-il une différence entre eux ? Sont-ils esclaves ou non ? Le prophète procédait-il à une enquête préalable, quand il achetait des esclaves ? Un individu dont on ne connaît ni le lieu d’origine, ni la condition, ni s’il a été asservi avant ou après son islamisation, peut-il être vendu ou échangé sans enquête préalable ? Ne pourront être saisis et vendus séparément le mari et la femme truffes et nos champignons séchés leurs enfants impubères. « Déclarons les esclaves être meubles et, comme tels, entrer en la communauté. Dieu ordonne de traiter les esclaves avec humanité, qu’ils soient nègres ou non. La traite n’eut, en France, une existence légale que le 26 août 1670. Ce jour-là, à la requête de Colbert, le Conseil d’État consacra officiellement l’esclavage, en exonérant de l’impôt de 5 pour 100 la traite des nègres en Guinée : « Il n’est rien qui contribue davantage à l’augmentation guide ultime des truffes colonies et à la culture des terres que le laborieux travail des nègres », disait l’arrêt du Conseil.

S’ils s’y refusent, on leur propose de se soumettre à l’impôt de la capitation, moyennant quoi on les autorise à conserver leur religion. Et faut noter en cest endroit, qu’encores que ceste terre du Bresil (comme nous verrons en ce chapitre) produise beaucoup de bons et excellens fruicts, qu’il s’y trouve neantmoins plusieurs arbres qui ont les leurs beaux à merveilles, et cependant ne sont pas bons à manger. Sachez-le, l’infidélité - qu’il s’agisse de chrétiens, de juifs, de pyrolâtres, de berbères, d’arabes, de tous autres individus rebelles à l’islamisme - est la seule justification de l’esclavage. Précaution inutile, l’humanité presque entière étant alors plongée dans les ténèbres de l’infidélité. C’est une avancée inédite dans le domaine de la trufficulture. L’esclave puni de mort sera estimé avant l’exécution par deux des principaux habitants de l’île, et son prix, réparti entre les têtes de nègres payant droit, sera payé à son maître par le fermier du Domaine Royal d’Occident.

Les jurisconsultes andalous admettent les mêmes principes qui sont appliqués par les juges de Fez et les cadis de Tombouctou. Et ils demandèrent consultations sur consultations à un célèbre érudit nègre, qui était cadi de Tombouctou. Mais d’avance, dès 1615, il avait été réfuté par le cadi nègre de Tombouctou dont j’ai parlé. Quelques généalogistes, ajoutait-il en citant Ibn Khaldoun, n’ayant aucune connaissance de l’histoire naturelle, ont prétendu que les nègres, race descendue de Ham (Cham), fils de Noé, reçurent pour signe distinctif la noirceur de la peau, par suite de la malédiction dont leur ancêtre fut frappé par son père, et qui aurait eu pour résultat l’altération du teint de Ham et l’asservissement de sa postérité. Dans une autre colonie, que nous venions d’abandonner, fut instauré tout autre chose que le Code Noir, une Constitution basée sur l’égalité et la fusion des races blanche et noire. Ahmed Baba, dans une des consultations que lui demandaient les gens de l’oasis du Touat, déclarait « qu’il n’y avait aucune différence à faire entre les races humaines. Ces musulmans, qui n’avaient pas hésité à massacrer, un siècle et quart auparavant, tous les juifs de l’oasis saharienne, se préoccupèrent de savoir si l’esclavage était légitime.